Epilepsies

Troubles épileptiques à Montélimar

Votre enfant souffre de troubles épileptiques à Montélimar ? Les ergothérapeutes à Montélimar du Collectif Thérapeutique Corps et Mains vous expliquent tout ce qu’il faut savoir sur cette maladie.

En savoir plus sur les troubles épileptiques

Votre enfant a un trouble épileptique psychotique près de Bourg-Saint-Andéol ? Il est atteint d’épilepsie à proximité de Loriol-sur-Drôme et souffre de crises d’épilepsie dans la région d’Aubenas ? Le Collectif Thérapeutique Corps et Mains vous révèle tout ce qu’il faut savoir sur les troubles épileptiques à Montélimar.

Il faut savoir que la maladie revêt un certain nombre de spécificités chez l’enfant, qu’elles soient épidémiologiques, étiologiques, cliniques ou thérapeutiques. L’âge auquel débute la maladie détermine souvent le type du syndrome épileptique, dont la gravité varie en fonction de divers facteurs (état de maturation cérébrale, agression cérébrale sous-jacente, prédisposition génétique, etc.).

Ainsi, le syndrome de West (spasmes et troubles du développement psychomoteur) ou le syndrome de Dravet (épilepsie myoclonique sévère), qui apparaissent dès les premiers mois du nourrisson, ou le syndrome de Lennox-Gastaut (absences et crises toniques), qui survient durant les toutes premières années, sont des formes rares mais assez sévères, pouvant être associées à une composante génétique et/ou anatomique (anomalie cérébrale).​

À l’inverse, l’épilepsie-absence est une des formes les plus fréquentes de la maladie chez les enfants, dont l’évolution est plus bénigne et qui disparaît souvent à l’adolescence ou chez l’adulte jeune. Elle survient souvent entre 5 et 7 ans, plus particulièrement chez les filles. Cette maladie, qui présente sans doute une composante génétique, est aussi favorisée par les lumières intermittentes ou l’hyperventilation. Elle se manifeste par des absences de quelques dizaines de secondes, dont l’enfant n’a pas mémoire, et s’accompagne de modifications motrices très discrètes (myoclonies, automatismes, diminution du tonus musculaire). Ces crises peuvent se répéter de nombreuses fois au cours d’une même journée

Enfin, on estime que 2 à 5% des enfants souffrent un jour d’une crise ou de convulsions liée à un épisode fébrile au cours de leurs premières années de vie. Pour la grande majorité d’entre eux, cet épisode n’aura pas d’incidence ultérieure. Cependant, pour quelques-uns, ces premières crises peuvent constituer les prémices d’une épilepsie à venir, en particulier d’une épilepsie mésio-temporale, la forme la plus fréquente d’épilepsie focale de l’adulte.​

Afin de poser un diagnostic, un neurologue pratiquera différents examens. Un suivi régulier sera nécessaire. Ensuite, un pédiatre ou un neuropédiatre pourra orienter les soins et guider les suivis qui seront nécessaires pour rééduquer et compenser les conséquences du trouble épileptique. Cet accompagnement est indispensable pour encadrer et prioriser les soins tout comme pour valider la nécessité d’aménagements scolaires

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